Un monde tourmenté par les divins. Un monde où les forces du bien et du mal s'entrechoquent ne laissant aucun réel vainqueur. Un monde où le chaos et l'espoir coexistent afin de ne former qu'un équilibre si fragile et éphémère. Alors que les terres magiques du Sekai ne font que se remettre des dégâts causés par une terrible et meurtrière guerre opposant les races mortelles aux entités divines, l'incertitude continue de vagabonder dans l'atmosphère. Les nations et grandes puissances se préparent à l'inévitable. Les ténèbres rôdent. Elles arrivent. Les conflits et les divergences d'opinion entre les différents peuple du Sekai éclatent. Puis, au cœur de tout ce contexte disparate, il y a vous, le Héros de l'histoire, l'Élu. Entre vos mains, vous détenez une part de la destinée de ce monde si singulier. Choisirez-vous d'être un sauveur ou un destructeur ? Le bouclier ou l'épée ? Saisissez-vous de vos sortilèges et de vos armes, car cette aventure rocambolesque est la vôtre !
1234
Votez pour nous !



 
Le Deal du moment : -39%
Pack Home Cinéma Magnat Monitor : Ampli DENON ...
Voir le deal
1190 €

Not a Hero [Karen Solo]
Invité
Invité
Anonymous
2020-07-28, 14:41

Not a Hero


J'étais de retour à Liberty, pendant mon voyage dans le désert Reike, cette horrible sensation d'avoir oublié quelque m'avais envahi. Lorsque je scrutais mon cœur et ma cascade intérieur, cette ville revenait toujours. Qu'avais-je bien pu oublier. Cette ville était grande, ce que je semblais chercher n'était autre qu'une épingle dans un océan.

Cette fois mon instinct ne pouvait pas me guider. En premier lieu j'avais essayé de trouver un endroit pour me reposer ce soir. Ma recherche ne fut pas si longue après avoir déambulé plusieurs longues minutes dans diverses ruelles, je finis par trouver mon bonheur, proche d'une grande bâtisse appartenant une dénommé « Nostariel » se trouvait une auberge, voilà qui était une première chose de faite, j'avais une bonne marge, ma force m'avait déjà servis quelques fois, trouver du travail n'allait pas être bien compliqué.

Durant mon vagabondage dans les rues je pouvais apercevoir quelque garde faire leur patrouille, les ruelles se faisaient de plus en plus sombres et l'air de plus en plus lourd. Entre deux chants d'oiseau je pouvais entendre des sortes de pleure, lorsque je me concentrais je pouvais sentir que la personne était proche. Mon instinct m'avait guidée jusqu'à une petite ruelle, une odeur désagréable y régnait, la cause de cette odeur n'avait pas tardée à être trouvé, elle venait d'une jeune femme, elle était bien plus jeune que moi, ses cheveux étaient rouges et ses yeux portaient une couleur orangé qui tendaient vers le rouge. Elle avait l'air d'avoir été frappée de nombreuse fois son corps était couvert de bleu et d'ecchymose. Sa chair était déchirée par des cordages qui l'empêchaient de se mouvoir comme elle voulait.

Cette pauvre femme ne m'avait pas encore remarquée et continuait de pleurer. Bordel, j'aimais pas voir ça, le reste était encore pire, des gens ne c'était pas seulement « amusé » à la tabassé. La rage bouillonnait au fond de mon cœur, une flamme depuis longtemps éteinte renaquit d'elle-même. Avant que j'ai le temps d'essayer de la calmer et l'aidé les coupables furent de retour : « Hé t'es qui ? Casse-toi d'ici, sinon on va te faire la même chose » il ne me restait qu'une chose à faire.

Avec ma magie et mes capacités retrouvées, je m'étais retournée le regard noir. C'était bien ce que je pensais, ils étaient deux, l'un d'eu était une grande baraque et l'autre était le parfait clicher du voleur. J'étais sûr que les données à la garde allait me faire un peu d'argents.

Mon bras me démangeait, chaque seconde d'attente me rendait de plus en plus folle. Mon bras d'acier était maintenant chargé de magie, les deux se ruèrent sur moi en un instant. Ils étaient lents c'était sans doute la colère, d'un revers de la main j'avais envoyée le plus grand dans le mur, le second pris la paume en plein visage ce qui suffit à l'envoyer au tapis. Voilà une bonne chose de faite.

La jeune demoiselle était encore plus terrifiée qu'avant, il fallait la comprendre, ce n'était pas tous les jours qu'on voyait une parfaite inconnue one shoot deux gars. Lorsque je m'approchais d'elle ses yeux c'était écarquillé elle reculait comme elle le pouvait. Quelqu'un venait de faire craquer ses poings juste derrière moi au moment où j'allais prendre le coup l'homme se fit geler sur place.

Il fallait que je la détache et vite. Seulement, je n'avais pas de quoi faire. Il y avait forcement une solution si je forçais comme une débile sur la corde, j'allais la blesser, elle avait déjà trop souffert à cause de ses hommes, mais sans le savoir le baraqué venait de sauver cette étrangère, en effet il portait à ceinture un couteau, il avait l'air assez tranchant pour couper ses liens, même si cela avait été fait de façon rapide, c'était trop serré et la corde avait laissé des marques sur sa peau.

Une fois totalement libéré la demoiselle se rua dans mes bras, une fois dans mes bras elle me sera extrêmement fort contre et poussa un nouveau sanglot, elle pleurait à chaude larme. Je la laissais faire, elle en avait besoin, je lui avais tapotée doucement le haut de la tête en lui chuchotant que tout allait bien. Je ne pouvais pas la laisser dans cet état, c'est vêtement étaient déchirés, la laissée ainsi était criminelle. Alors, après une brève fouille dans mon sac, je lui sortis de quoi se vêtir proprement.

Je n'étais pas une héroïne ou un truc du genre, je n'avais fais que suivre cette flamme qui s'était éteinte de nouveau. Je ne m'attendais à avoir aucune reconnaissance, je n'en avais pas besoin, dans mon habituel silence je repris ma marche vers l'inconnu.

Je pouvais la sentir, la demoiselle que je venais de sauver, elle me suivait. Au début je me disais que la direction vers la grand place étais celle que j'empreintes, cependant une fois arrivée, elle restait derrière moi. D'une façon ou d'une autre je pouvais entendre qu'elle rassemblait ses force et enfin après ce mutisme interminable elle vint me poser une question qui me surpris : « Si. Si. S'il vous plaît, est-ce que je peux être votre apprentis. »

Elle devait encore être sous le choc, je ne la connaissais pas et elle ne m'avait que très peu vu me battre, je devais refuser, pour son bien à elle. « Elle a pas un rond réfléchie deux minutes » cette pensée venait de me frapper, même si je devais refuser je ne pouvais pas la laisser seule : « écoute, euh .... tu dois être fatigué ou un truc du genre, on va à l'auberge et on en reparle demain. D'accord ? » elle avait hochée de la tête.

Pendant notre marche vers l'auberge la demoiselle reprit la parole : « Karen ? » même si ce n'était que très bref c'était déjà bien. Mon instinct ou ma stupidité, allez savoir me fit répondre : « Qui me demande ? » immédiatement une autre question survint : « Vous êtes Karen la boxeuse ? La boxeuse de Felyss ? » il y avait bien longtemps que je n'avais pas entendu ce nom, c'était le nom de ma ville natale, j'y avais grandi et ma légende aussi.

Je mis du temps à comprendre, mais je finis parle faire, elle venait de mon monde, par un moyen inconnu elle s'était retrouvé ici, je devais lui répondre, non par politesse, mais par obligation : « Yes, c'est moi, Karen Kevalehan, la seule l'unique. »

Un sourire se dessinait sur son visage, comme enfin rassuré. Une fois arrivé je pris une chambre pour nous deux. Nous pouvions enfin nous poser, il était temps. J'étais revenue à cause d'une sensation d'oublie et je me retrouve à avoir sauvé une demoiselle en détresse qui avait l'air de me connaître. Une fois posé elle continua notre discussion : « mon père regardait vos match quand j'étais petite, puis, je l'ai fais toute seule. » Comme à mon habitude j'en avais rien à foutre, si ça l'amusait de me raconter sa vie : « Putain, j'ai commencée il y a 14 ans à faire de la boxe, ça me rajeunit pas. » j'avais commencée à 15 ans dû à ma force physique absurde je participais avec les garçons, ce qui les rendaient jaloux et désagréable

Un flash fit surface, certes elle connaissait mon nom, mais je connaissais pas le siens : « Sinon, c'est quoi ton nom ? Tu connais le mien c'est peut-être mieux que j'ai le tien aussi, non ? » elle ne devait pas être habitué, elle parue surprise que je lui demande, même si chez moi j'étais une star ou un truc du genre, dans ce nouveau monde je n'étais rien : « Yuka, je m'appelle Yuka »

Yuka, Yuka, il ressemblait à celui de ma sœur, quel heureux hasard, elle semblait un peu plus vieille qu'elle. Le reste de la journée se passa doucement, lorsque la nuit fut enfin et que le moment de dormir aussi, mes habituelles insomnie firent surface, je m'étais assis su une chaise et veillais à ce qu'elle dorme correctement. Ce qui me perturbait le plus c'était qu'elle n'avait pas l'air si traumatisé que ça, comme si ma seule présence l'avait apaisée, il y avait d'autre théorie, mais qui était tout de même plutôt improbable et stupide.

Yuka, c'était réveillé aux aurores, la lueur du soleil semblait l'avoir fait lever, quant à moi, je n'avais pas réussi à trouver le sommeil, c'était une manière de protéger cette pauvre demoiselle. J'avais espoir que la nuit lui est portée conseil. L'idée d'avoir une apprentie ne me plaisait pas, mais si elle me le redemandait...

Ce que je craignais, Yuka m'avait reposée cette question : « J'ai bien dormis, j'ai pu remettre mes idées en place. Est-ce que vous voulez bien me prendre comme apprentie ? » c'était une rapide, elle s'était faite agresser le jour d'avant et contrairement à une majorité de nana, elle ne restait pas traumatisé pendant une plombe et en plus elle se levait super tôt. Après un bref rire je dis : « tu veux pas te lever à 14h comme tout le monde ? » en temps normal je dormais encore, mais quelque facteur faisais que je n'avais simplement pas dormis

Elle voulait une réponse, pas une blague de mauvais goûts, elle était frêle, elle n'était pas bâtie pour les mêmes choses que moi, mais si je pouvais lui apprendre quelque truc pour se défendre ça devrait le faire : « Bon, c'est d'accord, mais tu ne m'appelles que Karen ou mademoiselle à la grande limite, capiche ? » Elle avait hochée la tête voilà qui était fait.

Son sac était vide à l'exception d'un collant et de quelques sous-vêtement, avant de retourner à l'aventure, il allait falloir se trouver de nouveau vêtement. Plus pour elle que pour moi, j'avais une panoplie de débardeur ainsi que de pantalon large, je faisais bien une vingtaine de centimètres de plus qu'elle lui donner des vêtements, même si très drôle de par notre différence de taille n'était pas une bonne idée.

Durant l'après-midi, moi et Yuka somme partie réparer ce léger problème vestimentaire ayant un peu de marge niveau pièce d'or, j'ai pu payer des tailleurs et des cordonnier pour lui confectionner deux nouveaux ensemble, c'était pas grands choses, mais c'était un bon début. Il fallait être patient, très patient. Une fois les nouveaux vêtement de Yuka terminer nous restâmes à Liberty quelque temps, j'avais une lettre à écrire qui était très importante pour moi.